Esclave Betty par Carlos

Esclave Betty par Carlos

Nous sommes en juin, par une belle journée chaude et ensoleillée. Etendu au soleil, je me remets doucement de la soirée que j’ai passé la veille dans une discothèque du centre-ville, en pensant aux superbes femmes que j’ai rencontrées, sans pour autant réussir à en attirer une dans mon lit pour la nuit…

Que voulez-vous, il y a des soirées où ça ne fonctionne pas toujours comme on aimerait ! Le plus frustrant dans tout ça, c’est qu’aujourd’hui, j’ai plus que jamais envie d’une femme. Je me mets alors à penser à Betty, mon esclave occasionnelle. Il y a longtemps que je ne l’ai pas vue, à mes pieds, soumise et obéissante. Et je sais qu’elle s’ennuie de moi. A chaque fois qu’elle m’écrit, elle me dit combien elle tient à moi, pour me servir et m’adorer, et qu’elle espère tant mon retour. Je lui envoie donc un message l’informant que j’irai lui rendre visite bientôt. Dans mon message, je lui explique tout ce qu’elle devra préparer pour me recevoir dignement: Elle devra mettre au réfrigérateur deux bouteilles à moitié remplies d’eau, une grande et une petite. Elle devra aussi mettre à ma disposition tous les godes qu’elle possède, en plus d’un tube de lubrifiant. Elle devra aussi préparer des cordes, au cas où l’envie me viendrait de l’attacher solidement… Naturellement, elle devra avoir la chatte bien rasée… Je lui écris aussi qu’à mon arrivée, elle devra se tenir prosternée près de la porte, à genoux et les seins touchant au sol afin que dès mon entrée, je puisse bien voir sa chatte rasée.

La journée arrive enfin et je cogne deux petits coups à sa porte, avant d’entrer. Comme je lui avais ordonné, elle est bien là, à mes pieds. Elle est prosternée, me tournant le dos et me présentant sa chatte et son anus, et je constate immédiatement que sa chatte est déjà luisante de sa mouille…

– C’est très bien, esclave ! lui dis-je.

Du bout de ma botte de cuir, je commence à lui caresser l’entrejambe, la chatte et l’anus. Aussitôt, j’entends sa respiration s’accélérer puis, elle commence à soupirer de plus en plus fort, pendant que je sens ma botte glisser sur sa chatte qui déborde de jus. J’enfonce un doigt dans son vagin, recueillant un peu de lubrifiant, avant de le faire pénétrer au fond de son anus, lui faisant échapper un cri de plaisir. Je me penche alors pour prendre la laisse qu’elle porte au cou et je lui dis:

– Tu as souillé ma botte, esclave Betty, nettoie-la avec ta langue !

Docilement, sans un mot, elle se met à lécher du mieux qu’elle peut. Pas un geste de dégout, aucune protestation. Elle m’obéit aveuglement, promenant sa langue sur ma botte et nettoyant toute la souillure de sa mouille.

Je tire sur sa laisse afin qu’elle se relève et je l’attire vers moi. Elle ose à peine me regarder, ses yeux fuient les miens. Je sais très bien ce qu’elle ressent: Elle se sent humiliée, amoindrie, et elle sait très bien qu’elle n’est qu’une esclave, et que je suis son Maître. Je lui prends alors le menton entre le pouce et l’index, et je dépose sur ses lèvres un doux baiser afin de lui signifier que, malgré que je sois son Maître, j’apprécie sa docilité et lui en suis reconnaissant.

Je lui ordonne d’aller me chercher à boire, pendant que je m’installe confortablement sur le divan du salon. Lorsqu’elle revient, je lui ordonne de se mettre à cheval sur ma jambe, afin de voir si le cuir de mon pantalon réussira à la faire mouiller. Elle obéit, et elle commence à faire bouger son bassin. La chatte bien en contact avec mon cuir, elle laisse à chaque mouvement une trainée de mouille sur ma jambe, pendant que je suce goulûment un de ses seins dont le mamelon se dresse de plaisir.

Doucement au début, puis de plus en plus fortement, je commence à mordre son sein, pendant que mes mains écartent ses fesses et que mes doigts caressent l’antre de son anus. Au bout d’un moment, j’y introduis un doigt, puis deux. Je sens bien qu’elle y prend un plaisir fou…

– Tu adores ça hein, esclave salope ? Tu te branles comme une chienne en chaleur !
– Hmmmmmmmmm ! Oh oui Maître adoré ! N’arrêtez pas, s’il vous plaît !
– C’est trop bon pour toi, du moins pour le moment… Mets-toi à quatre pattes devant moi et suce ma queue comme tu sais si bien le faire… grosse pute !

Elle commence à lécher mon gland du bout de sa langue et lentement elle enfonce ma queue jusqu’au fond de sa gorge. C’est si bon! Je la laisse continuer ainsi quelque temps, profitant de la chaleur de sa bouche autant que je le désire. Je pourrais la laisser continuer toute la nuit si cela était mon désir, mais j’ai envie de bien plus que ça !

– Va t’allonger sur ton lit !, lui ordonnais-je.

Elle obéit aussitôt, et je la suis jusqu’au lit, où elle s’étend sur le dos, les jambes bien écartées. Je lui prends alors les chevilles, et je repousse ses jambes de chaque côté de sa tête, afin d’avoir pleinement accès à sa chatte qui dégouline littéralement de jus… et d’envie ! Je commence alors à lécher sa mouille, écartant ses lèvres et enfonçant ma langue le plus profondément à l’intérieur de son vagin.

Lorsque je sens que ses jambes commencent à trembler et qu’elle est sur le point de jouir, j’arrête ce jeu et lui ordonne de se placer à quatre pattes pendant que j’enduis mes doigts et ma main de lubrifiant…

– D’après toi, je peux entrer combien de doigts dans ta chatte de pute ? lui demandai-je.
– Oh! Je ne sais pas Maître! C’est à vous de vérifier !
– Peut-être que je vais pouvoir entrer ma main entière ?
– Oh Seigneur, allez-y doucement je vous en prie !
– J’irai à la vitesse et de la manière qui me plaira, chienne-esclave. C’est moi le Maître !

Je commence alors à enfoncer un doigt, puis deux, puis trois. Son jus commence à se mélanger au gel et mes doigts glissent facilement à l’intérieur de son vagin. J’en rajoute un quatrième. Betty commence à gémir doucement de plaisir pendant que mes doigts la fouillent. Aux quatre doigts déjà présents, j’ajoute mon pouce, et je commence à pousser doucement en faisant de petites rotations de la main. Peu à peu, mes cinq doigts s’enfoncent jusqu’à atteindre les dernières jointures, où je sens que ça bloque un peu. Je continue à pousser lentement, jusqu’à ce que les jointures passent l’entrée du vagin. Betty pousse un petit cri de douleur et me dit que ça lui fait un peu mal. Malgré cela, je laisse ma main dans son vagin en lui disant:

– Tu vois, c’est de cette manière qu’on insémine les vaches, à la campagne. Et toi, tu n’es finalement qu’une vache-esclave née pour mon plaisir…
– Oui Maître, je sais que je ne suis qu’une vache. Mais ça me fait vraiment mal, arrêtez !
– Tu me donnes des ordres maintenant, esclave Betty ?
– Oh, pardonnez-moi, mais j’aimerais que vous arrêtiez s’il vous plaît !
– S’il vous plaît… qui ?
– S’il vous plaît, Maître!

Devant tant de soumission, je décide donc de retirer lentement ma main. Pendant qu’elle reprend son souffle, je quitte la chambre quelques instants pour revenir avec les deux bouteilles d’eau qui, comme je l’avais demandé, étaient à moitié pleines d’eau et gardées au frigo. Betty avait choisi une bouteille de Bordeaux (75 cl) et une petite bouteille de bière. L’eau qu’elles contenaient était glacée!

– Tiens, j’aimerais voir comment tu te fais une douche vaginale…

Elle s’étend sur le dos, écarte les jambes et remonte son bassin, avant de prendre la petite bouteille brune. Dès que le goulot touche à sa chatte, elle sursaute en disant :

– Oooooh! C’est très froid !.

Néanmoins, elle obéit et elle commence à enfoncer la bouteille dans son vagin. Celle-ci commence à se vider, mais pas une seule goutte ne tombe sur le lit: Son vagin boit tout ! Elle fait redescendre son bassin afin de que l’eau s’écoule dans la bouteille et elle recommence le même manège avec la bouteille de Bordeaux. A nouveau, la bouteille se vide dans son vagin, mais pas au complet cette fois-ci.

– Ouf, j’ai l’impression que celle-là est encore plus froide, Maître !

Je lui réponds que côté fraîcheur, elle n’a encore rien vu… En allant chercher les bouteilles au frigo, j’avais vu dans le congélateur des tubes de Mr. Freeze bien gelés. J’avais une petite idée pour la suite… Mais en attendant, je présente à sa bouche ma queue bien bandée. Elle commence alors à me sucer, tout en continuant de se branler avec la bouteille, et au bout d’un moment, elle se met à gémir avant de se mettre à jouir comme une défoncée. Je la laisse jouir, trouvant qu’elle le mérite bien finalement…

Je lui dis d’arrêter et de m’attendre pendant que je vais lui chercher de quoi lui refroidir ses passions. Je reviens avec le tube de Mr. Freeze et, après l’avoir sorti de son emballage, je commence à l’enfoncer dans son vagin en lui disant:

– On va faire une expérience, on va voir en combien de temps ça va fondre. Comme tu es toute chaude ça devrait aller vite.

Je la laisse alors ainsi, couchée sur le dos avec la sucrerie glacée au fond du vagin, et je me mets tranquillement à fumer une cigarette. Betty ne peut s’empêcher de gémir et de se bouger le vagin, pendant que le liquide fondu s’écoule jusqu’à son anus. Quel spectacle excitant ! Après avoir terminé de griller ma cigarette, j’enfonce un doigt dans son vagin afin de me rendre compte de l’état du Mr. Freeze.

– Déjà !, lui dis-je.

Il ne reste déjà plus rien; son vagin est vide et les parois froides…

– Y’a pas à dire, tu es une esclave brulante, Betty !

Je me mets alors à lui lécher la chatte, buvant le jus à saveur de miel qui s’en écoule, et quand je me suis régalé, je lui ordonne de se nettoyer le vagin à l’aide des bouteilles. Je lui donne alors les godes qui étaient sur le bureau et je lui ordonne de me montrer maintenant ce qu’elle en fait lorsqu’elle se sent seule… Elle en prend un petit et approche son derrière contre le mur près du lit. Après l’avoir mis en route, elle commence à se caresser l’anus du bout du vibrateur, puis, elle commence à l’enfoncer doucement. Elle appuie alors le vibrateur contre le mur et de mouvements de hanches, elle le fait entrer et ressortir et se caressant les seins. J’approche ma queue de sa bouche et je prends un gros gode de caoutchouc noir et commence à le lui enfoncer dans le vagin, pendant qu’elle commence à me sucer.

– Hum, un jour je viendrais avec deux copains, une bite dans la bouche, une dans la chatte une dans le cul, ça te plairait, hein, esclave ?
– Si cela vous fait plaisir… je suis votre chose, votre objet, votre putain !

Elle bouge de plus en plus, jusqu’à ce que ses contractions anales ne fassent ressortir le vibrateur qui y était inséré. Je retire alors le gros vibro de son vagin et je l’enfonce d’un coup au fond de son anus. Betty pousse un cri de surprise et de douleur, mais je n’arrête pas pour autant le va-et-vient du gode en elle jusqu’à ce qu’elle se mette à nouveau à jouir comme une dingue. Je lui ordonne alors de se mettre à quatre pattes et j’enfile une capote. Après m’être réchauffé dans son vagin, j’en ressors et j’appuie le bout de mon gland à l’entrée de son anus puis, d’un coup de rein, je lui enfonce ma queue dans les entrailles. Je viens et vais pendant de longues minutes, me délectant de ses cris et de ses gémissements de plaisir, avant de lui demander:

– T’aimerais recevoir mon sperme dans ton cul, salope-esclave ?
– Oh oui Maître, faite comme il vous plaira !
– Mais si je te donne ce plaisir, tu devras me nettoyer ma queue de tout ce qu’il y aura dessus, y compris la merde ! Toujours d’accord esclave ?
– Bien sûr Maître, je ferai tout ce que vous m’ordonnerez !

Lorsque je sens que je suis sur le point de jouir, je me retire vivement de son cul, je retire la capote et enfonce à nouveau ma queue au fond d’elle. Après quelques coups de reins, je sens mon volcan éclater en elle. Pendant que je la défonce à grands coups profonds, mon sperme jaillit en elle et je me mets à jouir. Je me retire alors en lui disant :

– Fais ton travail, chienne !

Ma queue est luisante de jus et maculée de traces blanches et brunes, mais malgré cela, sans aucune protestation, Betty commence à me sucer avec plaisir, poussant même quelques « Hummmm ! » de délice (!) et me nettoie parfaitement. Je lui dis alors :

– T’es vraiment une salope ! C’était bon j’espère ?
– Oui maître, votre sperme est délicieux, et votre merde aussi !
– Maintenant, j’ai envie de pisser… Tu vas me servir d’urinoir. Couche-toi sur le dos et ouvre la bouche…

Pendant qu’elle s’exécute, je me lève et je me place au-dessus d’elle. Je commence alors à uriner sur son ventre, sur sa chatte et sur ses seins, avant de diriger le jet vers sa bouche en lui ordonnant de ne pas avaler tout de suite: Je voulais voir sa bouche pleine de mon urine. Lorsque j’ai eu finis, l’excitation m’avait fait rebander bien dur et Betty ne s’est pas fait prier pour me masser la queue de sa langue et de sa bouche…

Après un peu de repos, j’enfile une autre capote et je commence à la pénétrer de nouveau dans l’anus, en lui disant de ne pas enlever son visage des draps souillés de mon urine. Les animaux ne sont-ils pas excités par l’odeur de l’urine, alors pourquoi ma chienne-esclave ne le serait-elle pas? Je vais et viens pendant de longues minutes, jusqu’à ce que Betty me supplie fortement d’arrêter de l’enculer: Son anus est en feu. Je me retire donc, mais seulement pour pouvoir m’enfoncer dans son vagin. Après quelques minutes, nous nous mettons à jouir en même temps, dans un final grandiose…

Pendant que j’enfile mes vêtements, nous discutons de ce que nous avons vécus pendant la nuit, en nous promettant bien de reprendre ça un jour ! Au fur et à mesure que mes vêtements couvrent mon corps, je vois bien dans ses yeux qu’elle en voudrait encore, mais je préfère la laisser sur cet appétit, jusqu’à la prochaine fois. Je lui laisse un petit billet, elle ne me l’a pas réclamé mais elle l’a bien mérité. En repassant devant chez-elle, après avoir tourné le coin de rue, je la vois m’envoyer la main tout en s’écartant les jambes, caresser sa chatte et porter sa main mouillée à sa bouche

fin

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2 réponses à Esclave Betty par Carlos

  1. Pilouface dit :

    C’est un fantasme masculin sans doute, mais est-ce celui des femmes de subir cette aliénation.?

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